mardi 5 juillet 2016

Aimer

7 minutes avec Laurent Lévy
https://www.youtube.com/watch?v=NkKg1_3SqDY
Laurent LEVY parle de cette difficulté de comprendre l'amour que nous vivons lorsque nous laissons tomber nos attentes, nos peurs, nos demandes abusives d'être aimé. L'ouverture ressentie alors , la non séparation est au delà de tout temps, de toute compréhension. 

"Je crois dans l'humanité"

David Laroche, au lendemain des évènements à Paris en novembre 2015.
Une  belle vidéo, inspirante à  voir et revoir .

 5 minutes. Et la partager. Beaucoup d'amis m'ont remerciée pour la leur avoir transmise ! Naïmé

Chevaux en bois flotté de Heather Jansch



http://positivr.fr/heather-jansch-sculpture-cheval-bois/


La nature lui  donne tous les éléments...Elle les assemble pour faire ces magnifiques sculptures ! Naïmé

Construire des maisons pour les sans-abri

Encore des idées géniales pour recycler le vieux plastique ! 
Des solutions existent ! Ça se monte comme des "lego" ! Merci aux nouveaux créatifs ! Naïmé
Oscar Mendez, 34 ans, est un architecte et entrepreneur colombien. Il a eu une idée simple et formidable : construire des maisons pour les sans-abri en recyclant les déchets plastiques. Il a fondé en 2010 l’entreprise Conceptos Plasticos
Il suffit de 5 jours pour construire une maison de 430 m2 !

Nettoyage des océans



 Le prototype de Boyan Slat est lancé !

http://positivr.fr/boyan-slat-the-ocean-cleanup-prototype-lance/
The Ocean Cleanup, créé par le jeune Boyan Slat, vient de lancer le 22 juin 2016 en Mer du Nord le prototype de son dispositif de nettoyage des océans.
C'est à 17 ans, en 2012 que ce jeune néerlandais a proposé son projet ! Encore une preuve que la jeunesse est porteuse d'espoir ! Naïmé 

vendredi 1 juillet 2016

Il fait pousser des plantes dans le désert...


 ...Ce n'est pas au gout de tous...
depuis une vingtaine d'années, ingénieur agronome il a crée un produit qui permet ce challlenge...Naïmé

« L’argent doit être une résultante, pas une finalité en soi ». Philippe Ouaki Giorno a inventé une technologie révolutionnaire : des granulés capables de nourrir des plantes sans avoir besoin de les arroser. Depuis 20 ans, il partage son invention avec des pays où la terre est particulièrement pauvre et refuse de céder à des groupes industriels à la seule logique de profit…
photo tirée du net
http://legrandchangement.com/il-fait-pousser-des-plantes-dans-le-desert-et-ca-plait-pas-a-tout-le-monde-a-voir-jusquau-bout-et-a-partager/
(11 minutes)
A lire :
http://www.cles.com/debats-entretiens/article/l-homme-qui-fertilise-les-deserts
Un article écrit dans Nouvelles Clés (revue) Interviewé par Patrick Van Ersel.

Le 8 aout 2012, j'ai mis un article sur "l'eau solide" : similitude des deux inventions ? Je n'ai pas fait de recherches mais cela va dans le même sens, qui est l'inventeur originel, je ne sais pas ! La même technique ? Je vous invite à faire vos recherches pour plus de détails ! Naïmé

Sergio Rico, ingénieur chimiste mexicain, est l'inventeur de la pluie solide, un procédé très simple qui pourrait révolutionner l'agriculture.

mardi 14 juin 2016

Un rappel : Humus la matrice dumonde de Coline Serreau

Une invitation à prendre le temps de relire cet article paru sur Nouvelles Clés en 2010
C'est toujours d'actualité ! Un regard lucide sur le monde d'aujourd'hui. Naïmé

image tirée du net

« Un seul mot résume la destruction de la terre et de l’humanité : matricide ! L’humus est la matrice du monde : pour guérir, cessons d’écraser le féminin ! » Ainsi parle Coline Serreau, la réalisatrice de "3 hommes et un couffin" et de "La belle Verte"... Voilà plusieurs années que Coline Serreau, dont nous avons raffolé des fictions ébouriffées et utopistes - La belle Verte, La Crise, Saint Jacques... La Mecque -, interroge et filme très sérieusement toutes sortes d’acteurs de la mouvance des « nouveaux rebelles de l’humus », de Pierre Rabhi à Nicolas Hulot, de l’Indienne Vandana Shiva au Marocain Hassan Zaoual, des savant libertaires aux paysans sans terre. On les verra à l’écran, au printemps 2010, avec des dizaines d’autres, dans une série de six documentaires-manifestes : La Terre vue de la terre - Solutions locales pour un désordre global. Après avoir bourlingué en France, au Maroc, en Inde, au Brésil, en Ukraine, Coline Serreau se trouve en plein dérushage de ses cent cinquante heures de tournage, quand nous allons lui demander en quoi elle croit, au fond. Un discours féministe comme nous n’en avions plus entendu depuis longtemps, et qui décoiffe. La lutte pour la libération des femmes n’est pas achevée *Nouvelles Clés* : Monter six films d’une heure et demi sur les dizaines d’heures que vous avez tournées ne doit pas être évident. Quels sont vos critères, pour trier le meilleur ? *Coline Serreau* : Aujourd’hui, toute la journée, j’ai décrypté ma longue interview de la philosophe Antoinette Fouque, figure mythique du MLF et fondatrice de la Librairie des Femmes. J’adhère entièrement à ce qu’elle dit sur le meurtre du vivant. La terre et l’utérus, c’est le même mot. Mater, matière, utérus, terre, tout ça a la même racine. L’humus, l’humanisme, l’humilité, voilà mes critères. Les progressistes, dont je me suis longtemps sentie proche, n’ont jamais voulu voir le fond du problème : la relation entre la terre et l’utérus. Aujourd’hui, si les écologistes ne comprennent pas que l’urgence n°1 est l’arrêt du matricide, ils échoueront comme les autres. J’apprécie énormément des hommes comme Pierre Rabhi - il a été le déclencheur de toute ma démarche depuis trois ou quatre ans. J’estime qu’ils ont fait la moitié du chemin. L’autre moitié reste à franchir. Or, elle est tabou. Ce que nous appelons « civilisation » repose intégralement sur l’écrasement de la puissance créatrice des mères, de la matrice. Si nous ne remontons pas jusque-là, nous ne réparerons rien. Le ventre et le sexe des femmes, autrement dit le lieu d’où sort le vivant n’est pas respecté. Il est considéré comme « rien », et non comme une entité intelligente, qui pense. Sa fonction est vitale, mais elle est évacuée de tout respect, de tout comptage, elle n’existe pas dans l’ordre de ce que les humains appellent « création ». Si vous acceptez ce meurtre et sa symbolique, tous les crimes deviennent possibles. Car alors, la terre aussi cesse d’être sacrée, vénéré, nourrie, soignée pour produire du bon, du beau, du vivant. Elle devient comme du pétrole, un substrat qu’on pompe et exploite, pour en tirer du plastique, en oubliant l’essentiel. La richesse, c’est d’abord la terre. Mais personne ne veut le voir et le génocide se perpétue, là, sous nos yeux. N.C. : Génocide ! Le mot est un peu fort... C.S. : Pardon, mais pourquoi croyez-vous que 25% de femmes manquent à
l’appel en Inde ?